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Violences policières : quand l’impunité fait plus de dégâts que la matraque
Les conséquences des violences policières doivent être considérées comme allant au-delà des séquelles physiques qu’elles engendrent. L’impunité dont jouissent les auteurs et le mépris des organes de contrôle de la police pour leur version des faits nourrissent chez les victimes un malêtre psychologique et surtout un ressentiment envers les institutions qui menace la cohésion sociale dont elles doivent pourtant se porter garante.
Les conséquences des violences policières doivent être considérées comme allant au-delà des séquelles physiques qu’elles engendrent. L’impunité dont jouissent les auteurs et le mépris des organes de contrôle de la police pour leur version des faits nourrissent chez les victimes un malêtre psychologique et surtout un ressentiment envers les institutions qui menace la cohésion sociale dont elles doivent pourtant se porter garante.