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Transmission du savoir et convictions
La crise de l’école et de ses institutions renvoie à de multiples motifs. Ils tiennent, en particulier, aux mutations qui travaillent la culture, le politique, l’économie, les techno-sciences, la société duale. Ces mutations obligent sans cesse « les pouvoirs instituants » à s’interroger sur les finalités et les moyens de cette activité centrale de la société qu’est l’enseignement — et, à travers lui, la transmission d’une culture. Les sensibilités et les situations de la modernité « mondialisante » nous relancent ici : instituer l’enseignement, n’est-ce pas donner lieu et place pour transmettre l’accès à une culture et à ses « lectures » et, aussi, pour permettre de s’habiter soi-même, avec ses convictions et ses raisons de vivre ? La société civile a‑t-elle, ici, à revoir ses libertés pour jouer toutes ses partitions ?
