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Quels changements dans le mode d’action publique ?

Abo Numéro 05/6 Mai-Juin 2009 par Louis Brique

mai 2009

L’Ins­ti­tut wal­lon de l’é­vo­lu­tion de la pros­pec­tive et de l’é­va­lua­tion a pro­duit dif­fé­rents rap­ports, dont l’un consa­cré à la gou­ver­nance du plan Mar­shall. Les chan­ge­ments se sont concré­ti­sés par davan­tage de cohé­rence, plus de sélec­ti­vi­té, dans les pro­jets et actions, ce qui a per­mis d’é­vi­ter le sau­pou­drage. Ce sur­croît de pro­fes­sio­na­lisme a sus­ci­té la mobi­li­sa­tion d’ac­teurs peu habi­tués à col­la­bo­rer. Cepen­dant, la concer­ta­tion avec la Com­mu­nau­té fran­çaise, les autres Régions et l’U­nion euro­péenne a été insuf­fi­sante. Quant aux par­te­naires sociaux très inves­tis, ils n’ont en fin de compte joué qu’un rôle res­treint dans l’é­la­bo­ra­tion du plan et n’ont pas été consul­tés lors de l’évaluation.

L’Ins­ti­tut wal­lon de l’é­vo­lu­tion de la pros­pec­tive et de l’é­va­lua­tion a pro­duit dif­fé­rents rap­ports, dont l’un consa­cré à la gou­ver­nance du plan Mar­shall. Les chan­ge­ments se sont concré­ti­sés par davan­tage de cohé­rence, plus de sélec­ti­vi­té, dans les pro­jets et actions, ce qui a per­mis d’é­vi­ter le sau­pou­drage. Ce sur­croît de pro­fes­sio­na­lisme a sus­ci­té la mobi­li­sa­tion d’ac­teurs peu habi­tués à col­la­bo­rer. Cepen­dant, la concer­ta­tion avec la Com­mu­nau­té fran­çaise, les autres Régions et l’U­nion euro­péenne a été insuf­fi­sante. Quant aux par­te­naires sociaux très inves­tis, ils n’ont en fin de compte joué qu’un rôle res­treint dans l’é­la­bo­ra­tion du plan et n’ont pas été consul­tés lors de l’évaluation.

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Louis Brique


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