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Quelle place pour un prolongement théologique croyant ?
Le contexte postattentat actuel a mis les citoyens des sociétés occidentales, musulmans comme non musulmans, devant la conséquence macabre des émergences violentes liées à des interprétations belliqueuses de l’islam. D’aucuns proposent de répondre à ces interprétations mortifères par des interprétations pacifiques. Peut-on cependant imaginer d’autres pistes pour ce combat intellectuel contre l’obscurantisme ? Peut-on envisager, par exemple, un investissement des sciences humaines, notamment la science historique, à l’intérieur de l’univers de sens de la religion musulmane afin de produire, ou d’aider à produire, des interprétations pacifiques et motrices dans la vie des croyants ? Cette perspective implique de se poser la question de l’audibilité, pour ne pas dire de la recevabilité, de la science historique dans un imaginaire gouverné par la théologie.
Le contexte postattentat actuel a mis les citoyens des sociétés occidentales, musulmans comme non musulmans, devant la conséquence macabre des émergences violentes liées à des interprétations belliqueuses de l’islam. D’aucuns proposent de répondre à ces interprétations mortifères par des interprétations pacifiques. Peut-on cependant imaginer d’autres pistes pour ce combat intellectuel contre l’obscurantisme ? Peut-on envisager, par exemple, un investissement des sciences humaines, notamment la science historique, à l’intérieur de l’univers de sens de la religion musulmane afin de produire, ou d’aider à produire, des interprétations pacifiques et motrices dans la vie des croyants ? Cette perspective implique de se poser la question de l’audibilité, pour ne pas dire de la recevabilité, de la science historique dans un imaginaire gouverné par la théologie.