Skip to main content
logo
Lancer la vidéo

Pour une écriture des hontes, une affaire de femmes

Abo Numéro 3 Mai 2024 par Valerie Piette

mai 2024

« L’historien ne peut pas tout se per­mettre », écri­vait déjà Jean-Claude Vil­mont, spé­cia­liste de l’histoire des uni­vers car­cé­raux en 20091. En effet, étu­dier et his­to­ri­ser la honte c’est remuer un pas­sé, un pas­sé sou­vent « qui ne passe pas », un pas­sé dou­lou­reux et ain­si faire revivre une souf­france et un traumatisme.

Dossier

« L’historien ne peut pas tout se per­mettre », écri­vait déjà Jean-Claude Vil­mont, spé­cia­liste de l’histoire des uni­vers car­cé­raux en 20091. En effet, étu­dier et his­to­ri­ser la honte c’est remuer un pas­sé, un pas­sé sou­vent « qui ne passe pas », un pas­sé dou­lou­reux et ain­si faire revivre une souf­france et un traumatisme.

La suite de cet article est réservée aux membres Premium

Valerie Piette


Auteur

est professeure en histoire à l’Université libre de Bruxelles. Ses cours et recherches portent sur l’histoire des femmes, du genre, du corps et des sexualités, dont l’histoire du lesbianisme. Membres de l’Atelier Genre(s) et Sexualité(s) de l’ULB, elle a par ailleurs participé à la création du Master interuniversitaire en études de genre et au certificat Genre et sexualités de l’ULB.