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Politique locale et cohésion sociale : le cas de Schaerbeek

Numéro 05/6 Mai-Juin 2008 par Tamimount Essaïdi

mai 2008

Au début des années nonante, nombre de com­munes comp­tant une popu­la­tion mul­ti­cul­tu­relle ont com­men­cé à se pré­oc­cu­per acti­ve­ment de cohé­sion sociale dans les quar­tiers popu­laires. Le cas de la com­mune bruxel­loise de Schaer­beek illustre les aléas d’une telle poli­tique, coin­cée entre com­plexi­té hété­ro­clite et éclec­tisme com­plexe. Deux sortes de dis­po­si­tifs illus­trent les poten­tia­li­tés d’une « poli­tique com­mu­nale de cohé­sion sociale ». Les mai­sons de quar­tier montrent l’in­té­rêt d’in­clure des dyna­miques par­ti­ci­pa­tives dans les pro­grammes de cohé­sion sociale tan­dis que les édu­ca­teurs de rue repré­sentent un de ces nou­veaux métiers qui se sont très fort déve­lop­pés dans les dix der­nières années — métier clé, car il est l’un des seuls à affron­ter la ques­tion de la socia­li­sa­tion des adolescents.

Tamimount Essaïdi


Auteur

Tamimount Essaïdi est échevine de l'intégration sociale, de la prévention et de la solidarité à Schaerbeek depuis 2001.