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Podemos, du mouvement au parti. Chronique d’une désillusion
Ce qu’il est convenu de nommer « 15‑M » fut un mouvement protestataire qui bouleversa le jeu politique espagnol. Très fortement participatif, suscitant une large adhésion dans les milieux de gauche, il fut rapidement confronté à l’éternelle question de l’intégration au système démocratique représentatif. Le résultat en fut la fondation de Podemos, un nouveau parti de gauche qui prétendait incarner le mouvement pour lui permettre une participation au pouvoir. Mais un tsunami social peut-il s’intégrer aux institutions étatiques ?
Ce qu’il est convenu de nommer « 15‑M » fut un mouvement protestataire qui bouleversa le jeu politique espagnol. Très fortement participatif, suscitant une large adhésion dans les milieux de gauche, il fut rapidement confronté à l’éternelle question de l’intégration au système démocratique représentatif. Le résultat en fut la fondation de Podemos, un nouveau parti de gauche qui prétendait incarner le mouvement pour lui permettre une participation au pouvoir. Mais un tsunami social peut-il s’intégrer aux institutions étatiques ?