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Pauvreté infantile et participation

Abo Numéro 4 – 2019 par Émilie Charlier

mai 2019

En Bel­gique, 15,9% de la popu­la­tion vit sous le seuil de pau­vre­té. D’après les chiffres EU-SILC 2017, le taux grimpe jusqu’à 17,9% pour les enfants. La Fon­da­tion Roi Bau­douin en 2014 et le rap­port sur la pau­vre­té infan­tile et juvé­nile en Fédé­ra­tion Wal­lo­nie-Bruxelles en 2016 sou­lignent que les mineurs sont moins bien lotis que la popu­la­tion géné­rale, et ce quel que soit l’indicateur pri­vi­lé­gié. Cette contri­bu­tion pro­pose quelques réflexions concer­nant la notion de par­ti­ci­pa­tion des enfants en situa­tion de pau­vre­té, en pre­nant appui sur une recherche réa­li­sée de manière conjointe par l’université de Mons et l’université de Gand dont l’objectif était d’identifier qua­rante « pra­tiques ins­pi­rantes » en matière de lutte contre la pau­vre­té infan­tile dans les grandes villes de Belgique.

Article

En Bel­gique, 15,9% de la popu­la­tion vit sous le seuil de pau­vre­té. D’après les chiffres EU-SILC 2017, le taux grimpe jusqu’à 17,9% pour les enfants. La Fon­da­tion Roi Bau­douin en 2014 et le rap­port sur la pau­vre­té infan­tile et juvé­nile en Fédé­ra­tion Wal­lo­nie-Bruxelles en 2016 sou­lignent que les mineurs sont moins bien lotis que la popu­la­tion géné­rale, et ce quel que soit l’indicateur pri­vi­lé­gié. Cette contri­bu­tion pro­pose quelques réflexions concer­nant la notion de par­ti­ci­pa­tion des enfants en situa­tion de pau­vre­té, en pre­nant appui sur une recherche réa­li­sée de manière conjointe par l’université de Mons et l’université de Gand dont l’objectif était d’identifier qua­rante « pra­tiques ins­pi­rantes » en matière de lutte contre la pau­vre­té infan­tile dans les grandes villes de Belgique.

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Émilie Charlier


Auteur

doctorante au Service de Sciences de la famille de l’université de Mons