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Paralittératures, d’un genre à l’autre
La notion de « paralittératures » constitue la thématique du dossier que Jacques Dubois a coordonné pour La Revue nouvelle à la fin des années 1970. Sa démarche constituait assurément un coup de pied dans la fourmilière du champ des études littéraires en légitimant l’étude de genres littéraires « marginaux » ou « secondaires », au même titre que l’étude de la littérature consacrée. Elle constitue également une sorte de glissement, depuis une sociologie de la production littéraire vers une sociologie de sa réception. À l’heure de l’omniprésence des réseaux socionumériques, de l’hybridation des pratiques de lecture et de la diversification des pratiques scripturales, il semble, en effet, de moins en moins pertinent de considérer les consommatrices et les consommateurs comme de simples réceptacles passifs des œuvres qui sont produites. Au point de réconcilier cultures lettrées et populaires ?
La notion de « paralittératures » constitue la thématique du dossier que Jacques Dubois a coordonné pour La Revue nouvelle à la fin des années 1970. Sa démarche constituait assurément un coup de pied dans la fourmilière du champ des études littéraires en légitimant l’étude de genres littéraires « marginaux » ou « secondaires », au même titre que l’étude de la littérature consacrée. Elle constitue également une sorte de glissement, depuis une sociologie de la production littéraire vers une sociologie de sa réception. À l’heure de l’omniprésence des réseaux socionumériques, de l’hybridation des pratiques de lecture et de la diversification des pratiques scripturales, il semble, en effet, de moins en moins pertinent de considérer les consommatrices et les consommateurs comme de simples réceptacles passifs des œuvres qui sont produites. Au point de réconcilier cultures lettrées et populaires ?