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Ne laissons plus l’Europe aux “Européens”

Numéro 1 Janvier 2001 par Théo Hachez

août 2016

Doit-on repro­cher aux ministres et chef d’É­tat (cette der­nière appel­la­tion ne dési­gnant que le seul pré­sident de la Répu­blique fran­çaise) d’a­voir négo­cié âpre­ment le poids de leur pays dans l’U­nion euro­péenne de demain et d’a­voir sou­mis à trois cri­tères dif­fé­rents la défi­ni­tion d’une majo­ri­té suf­fi­sante ? Doit-on taxer de fri­lo­si­té leurs réti­cences à renon­cer au droit de véto […]

Doit-on repro­cher aux ministres et chef d’É­tat (cette der­nière appel­la­tion ne dési­gnant que le seul pré­sident de la Répu­blique fran­çaise) d’a­voir négo­cié âpre­ment le poids de leur pays dans l’U­nion euro­péenne de demain et d’a­voir sou­mis à trois cri­tères dif­fé­rents la défi­ni­tion d’une majo­ri­té suf­fi­sante ? Doit-on taxer de fri­lo­si­té leurs réti­cences à renon­cer au droit de véto dont dis­pose cha­cun des pays dans la plu­part des zones de com­pé­tence de l’U­nion ? Doit-on encore sans cesse esti­mer celles-ci comme trop limi­tées par la volon­té de pro­té­ger leur sou­ve­rai­ne­té et leurs inté­rêts nationaux ?

Théo Hachez


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