Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Médiatisation des actes violents, avons-nous perdu la raison ?
Il semble que des sommets aient été atteints dans la recherche de l’information sensationnelle qui confine à l’horreur dans la médiatisation des évènements du 29 mai à Liège. Dans la course à la médiatisation d’une fusillade comme celle de Liège, il y a une différence essentielle entre l’explication factuelle et la prospective. Ce qui frappe, c’est que le besoin d’établir des scénarios et de répondre à des questions extrêmement précises se fait de plus en plus rapidement après le drame alors que les informations tombent au compte-goutte et se contredisent parfois. Or, la construction d’une analyse s’effectue dans le temps.
Il semble que des sommets aient été atteints dans la recherche de l’information sensationnelle qui confine à l’horreur dans la médiatisation des évènements du 29 mai à Liège. Dans la course à la médiatisation d’une fusillade comme celle de Liège, il y a une différence essentielle entre l’explication factuelle et la prospective. Ce qui frappe, c’est que le besoin d’établir des scénarios et de répondre à des questions extrêmement précises se fait de plus en plus rapidement après le drame alors que les informations tombent au compte-goutte et se contredisent parfois. Or, la construction d’une analyse s’effectue dans le temps.