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L’Un passe
À partir de deux témoignages de personnes passées par les institutions psychiatriques, nous explorerons en quoi la conception médicale de la santé mentale passe sous silence la subjectivité et la singularité de chacun·e. Le modèle médical de la psychiatrie se calque sur la médecine expérimentale comme si la santé mentale était superposable en tout point à la médecine du corps. Pourtant, la singularité de la plainte du malêtre psychique est beaucoup plus complexe que celle liée à une maladie somatique dans la mesure où elle se trouve au croisement de problématiques psychologiques, linguistiques, politiques et biologiques.
À partir de deux témoignages de personnes passées par les institutions psychiatriques, nous explorerons en quoi la conception médicale de la santé mentale passe sous silence la subjectivité et la singularité de chacun·e. Le modèle médical de la psychiatrie se calque sur la médecine expérimentale comme si la santé mentale était superposable en tout point à la médecine du corps. Pourtant, la singularité de la plainte du malêtre psychique est beaucoup plus complexe que celle liée à une maladie somatique dans la mesure où elle se trouve au croisement de problématiques psychologiques, linguistiques, politiques et biologiques.