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Les réformes institutionnelles belges et les logiques du malentendu
Depuis 1970, le système politique belge s’essaie, au travers de multiples crises, négociations ou compromis successifs à mettre au point une structure et des mécanismes institutionnels qui permettent une gestion efficace, cohérente et démocratique des aspirations, tendances ou projets des diverses composantes de la société belge. Ce processus, engagé depuis maintenant cinquante ans, a été difficile à conduire. Sans doute parce qu’il obéit à des injonctions contrastées et parfois contradictoires et qu’il associe des acteurs dans des compromis complexes dont les significations ne correspondent pas toujours. Le thème du malentendu peut fournir un éclairage sur les difficultés singulières du processus de réforme.
Depuis 1970, le système politique belge s’essaie, au travers de multiples crises, négociations ou compromis successifs à mettre au point une structure et des mécanismes institutionnels qui permettent une gestion efficace, cohérente et démocratique des aspirations, tendances ou projets des diverses composantes de la société belge. Ce processus, engagé depuis maintenant cinquante ans, a été difficile à conduire. Sans doute parce qu’il obéit à des injonctions contrastées et parfois contradictoires et qu’il associe des acteurs dans des compromis complexes dont les significations ne correspondent pas toujours. Le thème du malentendu peut fournir un éclairage sur les difficultés singulières du processus de réforme.