Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Les confusions d’une loi
« Albert II, Roi des Belges, à tous, présents et à venir, Salut ! Les Chambres ont adopté et Nous sanctionnons ce qui suit : »… O tempora, o mores ! La nouvelle loi sur le volontariat parue au Moniteur belge en aout 2005 reflète à plus d’un titre les préoccupations de notre époque. Le volontariat s’inscrit désormais dans un rapport juridique et économique, prend en compte la gestion du risque et se dote de mécanismes de contrôle. D’emblée, la loi sur le volontariat qui s’annonçait comme un acte de reconnaissance de l’activité du bénévole s’est profilée en termes économiques. De l’annonce d’un statut du bénévole est finalement née une loi relative aux droits des volontaires.