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Le retrait du malentendu-alibi
En 2011, la livraison de juillet-aout de La Revue nouvelle consacrait un dossier au consentement sexuel. Dans ce numéro, nous présentions la façon dont la sexualité statutaire, celle où l’interdit et le permis étaient fonction du statut des partenaires — seuls les rapports sexuels entre époux étant légitimes — cédait progressivement le pas devant la sexualité consentie, le consentement des partenaires fondant désormais la légitimité de toute relation sexuelle[efn_note]Marquet J. (2011), « Clés pour comprendre la sexualité contemporaine », La Revue nouvelle, n° 7 – 8, p. 34 – 43, [/efn_note].
En 2011, la livraison de juillet-aout de La Revue nouvelle consacrait un dossier au consentement sexuel. Dans ce numéro, nous présentions la façon dont la sexualité statutaire, celle où l’interdit et le permis étaient fonction du statut des partenaires — seuls les rapports sexuels entre époux étant légitimes — cédait progressivement le pas devant la sexualité consentie, le consentement des partenaires fondant désormais la légitimité de toute relation sexuelle[efn_note]Marquet J. (2011), « Clés pour comprendre la sexualité contemporaine », La Revue nouvelle, n° 7 – 8, p. 34 – 43, [/efn_note].