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Le corps-traitre des vieilles·vieuxmaes
Le projet du « bien vieillir » est venu conforter un ensemble de représentations de l’humain comme auto-entrepreneur, véhiculées notamment au travers d’une partie de la littérature économique. Pourtant, la trahison inéluctable du corps des vieux·vieilles rappelle le caractère profondément illusoire de l’auto-emprise indispensable à l’auto-entreprise du « bien vieillir ». Partant du constat que cet écueil remet profondément en question nos représentations collectives, peut-être faut-il chercher à en rire avec les vieilles·vieux, pour mieux construire la critique sociale.
Le projet du « bien vieillir » est venu conforter un ensemble de représentations de l’humain comme auto-entrepreneur, véhiculées notamment au travers d’une partie de la littérature économique. Pourtant, la trahison inéluctable du corps des vieux·vieilles rappelle le caractère profondément illusoire de l’auto-emprise indispensable à l’auto-entreprise du « bien vieillir ». Partant du constat que cet écueil remet profondément en question nos représentations collectives, peut-être faut-il chercher à en rire avec les vieilles·vieux, pour mieux construire la critique sociale.