Skip to main content
logo
Lancer la vidéo

La position des acteurs humanitaires

Numéro 01/2 Janvier-Février 2004 par Benoît Hennaut

janvier 2004

Le droit international, de manière générale, et en particulier le droit humanitaire sont aujourd’hui contraints au repli face à une puissance qui justifie son action par une morale sûre de sa supériorité : ne fait-elle pas fond sur les droits de l’homme ? Ce déni du droit humanitaire a des répercussions sur le terrain : ainsi, l’autorité occupante, souveraine, contrôle tout, allant jusqu’à organiser l’aide, privilégiant la charité au détriment d’interventions à long terme. Dans ce contexte, tant la liberté de travailler que la liberté d’expression des organisations non gouvernementales sont réduites.