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La honte d’un point de vue sociolinguistique

Abo Numéro 3 Mai 2024 par Claudine Moïse

mai 2024

À tra­vers les notions qu’elle a mobi­li­sées, comme celle de l’auto-odi, la socio­lin­guis­tique, en tant que dis­ci­pline qui ana­lyse depuis les années 1970 les rap­ports de domi­na­tion, a trop sou­vent enfer­mé les sujets dans la honte de leur langue. Au-delà de cette réa­li­té qui dit les insé­cu­ri­tés et assi­mi­la­tions lin­guis­tiques, il est désor­mais impor­tant de mon­trer aus­si les capa­ci­tés d’agir, quand « s’éhonter » per­met de se libérer.

Dossier

À tra­vers les notions qu’elle a mobi­li­sées, comme celle de l’auto-odi, la socio­lin­guis­tique, en tant que dis­ci­pline qui ana­lyse depuis les années 1970 les rap­ports de domi­na­tion, a trop sou­vent enfer­mé les sujets dans la honte de leur langue. Au-delà de cette réa­li­té qui dit les insé­cu­ri­tés et assi­mi­la­tions lin­guis­tiques, il est désor­mais impor­tant de mon­trer aus­si les capa­ci­tés d’agir, quand « s’éhonter » per­met de se libérer.

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Claudine Moïse


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