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La Grande Guerre chez les jeunes belges et européens

Abo Numéro 7 – 2018 - Europe guerre histoire jeunesse Première Guerre par Pierre Bouchat Geneviève Warland

novembre 2018

Com­ment les jeunes euro­péens se repré­sentent-ils la Grande Guerre à l’heure des com­mé­mo­ra­tions de son cen­te­naire ? La guerre a‑t-elle encore un sens et un impact sur leurs atti­tudes et émo­tions ? C’est à ces ques­tions qu’une équipe mul­ti­dis­ci­pli­naire de cher­cheurs de l’université catho­lique de Lou­vain et de l’université libre de Bruxelles a vou­lu répondre au cours de ces quatre années 2014 – 2018, au moyen de théo­ries et de méthodes issues de la psy­cho­lo­gie sociale.

Dossier

Com­ment les jeunes euro­péens se repré­sentent-ils la Grande Guerre à l’heure des com­mé­mo­ra­tions de son cen­te­naire ? La guerre a‑t-elle encore un sens et un impact sur leurs atti­tudes et émo­tions ? C’est à ces ques­tions qu’une équipe mul­ti­dis­ci­pli­naire de cher­cheurs de l’université catho­lique de Lou­vain et de l’université libre de Bruxelles a vou­lu répondre au cours de ces quatre années 2014 – 2018, au moyen de théo­ries et de méthodes issues de la psy­cho­lo­gie sociale.

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Pierre Bouchat


Auteur

psychologue social, post-doctorant et chargé de cours invité à l’université catholique de Louvain

Geneviève Warland


Auteur

Geneviève Warland est historienne, philosophe et philologue de formation, une combinaison un peu insolite mais porteuse quand on veut introduire des concepts en histoire et réfléchir à la manière de l’écrire. De 1991 à 2003, elle a enseigné en Allemagne sous des statuts divers, principalement à l’université : Aix-la-Chapelle, Brême, et aussi, par la suite, Francfort/Main et Paderborn. Cette vie un peu aventurière l’a tout de même ramenée en Belgique où elle a travaillé comme assistante en philosophie à l’USL-B et y a soutenu en 2011 une thèse intégrant une approche historique et une approche philosophique sur les usages publics de l’histoire dans la construction des identités nationales et européennes aux tournants des XXè et XXIè siècles. Depuis 2012, elle est professeure invitée à l’UCLouvain pour différents enseignements en relation avec ses domaines de spécialisation : historiographie, communication scientifique et épistémologie de l’histoire, médiation culturelle des savoirs en histoire. De 2014 à 2018, elle a participé à un projet de recherche Brain.be, à la fois interdisciplinaire et interuniversitaire, sur Reconnaissance et ressentiment : expériences et mémoires de la Grande Guerre en Belgique coordonné par Laurence van Ypersele. Elle en a édité les résultats scientifiques dans un livre paru chez Waxmann en 2018 : Experience and Memory of the First World War in Belgium. Comparative and Interdisciplinary Insights.