Skip to main content
logo
Lancer la vidéo

80 Israël. Résistance des immigrés érythréens et soudanais

Abo Numéro 6/7 juin-juillet 2014 par Élodie Francart

juin 2014

Alors qu’Israël est le pays de l’OCDE qui a le plus faible taux de reconnaissance du statut de réfugié, il vient de durcir sa législation anti-infltration, permettant la détention à durée indéterminée de demandeurs d’asile. Organisés dans un premier temps en réseaux de solidarité internes, les Érythréens et les Soudanais se sont organisés en un mouvement plus revendicatif. Réprimé, il s’est essoufflé, laissant les communautés africaines découragées en dépit d’une certaine sensibilisation de la société civile et des médias.

Alors qu’Israël est le pays de l’OCDE qui a le plus faible taux de reconnaissance du statut de réfugié, il vient de durcir sa législation anti-infltration, permettant la détention à durée indéterminée de demandeurs d’asile. Organisés dans un premier temps en réseaux de solidarité internes, les Érythréens et les Soudanais se sont organisés en un mouvement plus revendicatif. Réprimé, il s’est essoufflé, laissant les communautés africaines découragées en dépit d’une certaine sensibilisation de la société civile et des médias.

La suite de cet article est réservée aux membres Premium

Élodie Francart


Auteur

Elle a passé six mois en Israël dans le cadre d’un stage. Elle fut, dans un premier temps, responsable de la communauté soudanaise à Tel Aviv et à Arad pour Amnesty International Israël, puis s’engagea de manière indépendante au sein des centres communautaires africains existants.