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Franstalig.Complexité d’un plus petit commun dénominateur
L’amorce d’analyse présentée ici est celle de Louis Dieltjens, un intellectuel louvaniste, avec, en contrepoint, celle d’Aline Christiaens, une Bruxelloise néerlandophone, en dialogue avec un membre de la rédaction de La Revue nouvelle, Paul Géradin. Le point de vue exprimé ainsi n’est certes pas représentatif de l’image que le Flamand moyen se fait des francophones et de l’incidence des enjeux linguistiques et culturels dans le devenir de la Belgique. Il constitue néanmoins un apport très éclairant. En termes lukacsiens, on dirait qu’au-delà de la « conscience réelle », il exprime en effet la « conscience possible » d’un avenir commun.