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Franstalig.Complexité d’un plus petit commun dénominateur

Numéro 4 Avril 2008 par Louis Diltjens

avril 2008

L’a­morce d’a­na­lyse pré­sen­tée ici est celle de Louis Dielt­jens, un intel­lec­tuel lou­va­niste, avec, en contre­point, celle d’A­line Chris­tiaens, une Bruxel­loise néer­lan­do­phone, en dia­logue avec un membre de la rédac­tion de La Revue nou­velle, Paul Géra­din. Le point de vue expri­mé ain­si n’est certes pas repré­sen­ta­tif de l’i­mage que le Fla­mand moyen se fait des fran­co­phones et de l’in­ci­dence des enjeux lin­guis­tiques et cultu­rels dans le deve­nir de la Bel­gique. Il consti­tue néan­moins un apport très éclai­rant. En termes lukac­siens, on dirait qu’au-delà de la « conscience réelle », il exprime en effet la « conscience pos­sible » d’un ave­nir commun.