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« Faut-il croire ? » Quel titre !
Le fait culturel contemporain de la non-évidence du divin devrait réjouir tout le monde. Car il s’agit non seulement d’une victoire de la raison critique des Lumières, mais aussi le vœu profond du christianisme lui-même. L’émancipation du sujet moderne est à défendre par tous. À cet égard, l’agnosticisme chrétien du nom divin et l’agnosticisme athée de la laïcité adossés l’un à l’autre pourraient représenter un « désaccord fondateur » concernant la « nécessité de croire ». Une chance pour la paix citoyenne toujours en quête de son fondement. Sur cette base depuis longtemps explorée par Emmanuel Levinas, la tension millénaire entre « l’espérance de la raison » et « les raisons de l’espérance » constitue un chantier d’exigence pour notre temps.
Le fait culturel contemporain de la non-évidence du divin devrait réjouir tout le monde. Car il s’agit non seulement d’une victoire de la raison critique des Lumières, mais aussi le vœu profond du christianisme lui-même. L’émancipation du sujet moderne est à défendre par tous. À cet égard, l’agnosticisme chrétien du nom divin et l’agnosticisme athée de la laïcité adossés l’un à l’autre pourraient représenter un « désaccord fondateur » concernant la « nécessité de croire ». Une chance pour la paix citoyenne toujours en quête de son fondement. Sur cette base depuis longtemps explorée par Emmanuel Levinas, la tension millénaire entre « l’espérance de la raison » et « les raisons de l’espérance » constitue un chantier d’exigence pour notre temps.