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Exutoire et opprobre social ? Travailleur·euses du sexe à l’épreuve du confinement
Les deux confinements des années 2020 – 2021 se sont assortis de mesures visant l’interdiction des métiers du sexe sans que ne soit prévue la mise en place de revenus de substitution. Sans rentrées financières, des équilibres qui tenaient à un fil ont basculé du côté de la (grande) pauvreté. Comment la crise sanitaire a‑t-elle été vécue par ces personnes ? Trois associations (Utsopi, Espace P Bruxelles et Alias) ont conduit une enquête quantitative sur le territoire bruxellois pour tenter d’objectiver, par quelques chiffres, des réalités qu’ils constatent tous les jours dans leur travail de terrain.
Les deux confinements des années 2020 – 2021 se sont assortis de mesures visant l’interdiction des métiers du sexe sans que ne soit prévue la mise en place de revenus de substitution. Sans rentrées financières, des équilibres qui tenaient à un fil ont basculé du côté de la (grande) pauvreté. Comment la crise sanitaire a‑t-elle été vécue par ces personnes ? Trois associations (Utsopi, Espace P Bruxelles et Alias) ont conduit une enquête quantitative sur le territoire bruxellois pour tenter d’objectiver, par quelques chiffres, des réalités qu’ils constatent tous les jours dans leur travail de terrain.