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Entre dérives médiatiques et dérives judiciaires

Numéro 9 Septembre 2001 par Benoît Grévisse

juillet 2016

Un soup­çon d’im­pu­ni­té pèse aujourd’­hui sur les jour­na­listes alors qu’ils sont eux-mêmes plon­gés dans une cer­taine insé­cu­ri­té. La faute jour­na­lis­tique subit une sanc­tion judi­ciaire aléa­toire. C’est la res­pon­sa­bi­li­té pro­fes­sion­nelle de l’in­for­ma­tion qu’il convient de redé­fi­nir dans le sys­tème de ses fon­de­ments et de son exer­cice par tous les acteurs concer­nés : les jour­na­listes, les rédac­teurs en […]

Un soup­çon d’im­pu­ni­té pèse aujourd’­hui sur les jour­na­listes alors qu’ils sont eux-mêmes plon­gés dans une cer­taine insé­cu­ri­té. La faute jour­na­lis­tique subit une sanc­tion judi­ciaire aléa­toire. C’est la res­pon­sa­bi­li­té pro­fes­sion­nelle de l’in­for­ma­tion qu’il convient de redé­fi­nir dans le sys­tème de ses fon­de­ments et de son exer­cice par tous les acteurs concer­nés : les jour­na­listes, les rédac­teurs en chef, les pro­prié­taires de médias, mais aus­si le public. Dans ce cadre, l’au­to­ré­gu­la­tion des jour­na­listes prend un sens et pour­rait, en Bel­gique, trou­ver à s’améliorer.

Benoît Grévisse


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