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Éditer comme une traductrice
Comment traduire sans tomber dans le piège de l’ethnocentrisme ? Comment, par le geste de traduction, offrir à notre lectorat la possibilité de se confronter à d’autres modes de pensée ? Comment sortir de l’écueil de la primauté de la « langue dominante » ? Traduire selon ces préceptes permet de faire un pas de côté pour se laisser imprégner d’autres cultures, d’autres visions du monde. Se faire bousculer par un vocabulaire différent, se laisser surprendre par des tournures syntaxiques inhabituelles même dans les textes scientifiques ou de sciences humaines, c’est le pari que font les traduteur·ices et éditeur·ices qui osent se décentrer pour laisser place à l’altérité.
Comment traduire sans tomber dans le piège de l’ethnocentrisme ? Comment, par le geste de traduction, offrir à notre lectorat la possibilité de se confronter à d’autres modes de pensée ? Comment sortir de l’écueil de la primauté de la « langue dominante » ? Traduire selon ces préceptes permet de faire un pas de côté pour se laisser imprégner d’autres cultures, d’autres visions du monde. Se faire bousculer par un vocabulaire différent, se laisser surprendre par des tournures syntaxiques inhabituelles même dans les textes scientifiques ou de sciences humaines, c’est le pari que font les traduteur·ices et éditeur·ices qui osent se décentrer pour laisser place à l’altérité.