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Écolo : dix-sept mois au pouvoir
L’avenir des verts, et plus largement celui de l’écologie, est dans le rôle de représentant des “acteurs insolites” des mouvements sociaux actifs dans la société. Face à leurs demandes multiples, parfois contradictoires, la définition d’enjeux prioritaires centrée sur l’élaboration de l’intérêt général voire la coexistence d’intérêts particuliers, est une nécessité. A défaut, Écolo restera la roue superflue d’un attelage gouvernemental qui ne demande qu’à rouler sans lui, et l’opposition interne au sein du parti se sentira légitimée dans ses critiques, et ses demandes d’être mieux associée à l’équipe gouvernementale seront assimilées à de l’ ”agitation”. Sans ce choix politique fort, le bilan futur de la participation à l’exécutif fédéral ne pourra qu’être à l’image de celui dressé par l’assemblée générale du 17 décembre : en demi-teinte, semi-victoire ou semi-défaite, suivant les points de vue.