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Déviance, subversion et clandestinité. L’action sociale entre le discours et la réalité
Osons une thèse quelque peu provocante : si les professionnels de l’action sociale prennent de plus en plus des postures déviantes, subversives voire clandestines, c’est parce qu’ils refusent obstinément d’être transformés en… curés ! Dans ce qui apparait dès lors comme une résistance, c’est un puissant éthos professionnel qui s’exprime, éthos dont les racines sont sociohistoriques, et qui se trouve mis en tension par l’évolution des politiques publiques.

Osons une thèse quelque peu provocante : si les professionnels de l’action sociale prennent de plus en plus des postures déviantes, subversives voire clandestines, c’est parce qu’ils refusent obstinément d’être transformés en… curés ! Dans ce qui apparait dès lors comme une résistance, c’est un puissant éthos professionnel qui s’exprime, éthos dont les racines sont sociohistoriques, et qui se trouve mis en tension par l’évolution des politiques publiques.