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De Degrelle aux Bienveillantes, Jonathan Littell et l’écriture de la Shoah

Numéro 07/8 Juillet-Août 2008 par Albert Mingelgrün

juillet 2008

Deux ans après le prix Gon­court et celui de l’A­ca­dé­mie fran­çaise, la publi­ca­tion de la tra­duc­tion alle­mande des Bien­veillantes et celle du texte pré­pa­ra­toire que son auteur a consa­cré à la langue fas­ciste de Léon Degrelle, nous sommes rame­nés à une œuvre que nombre d’entre nous ont par­fois vou­lu repous­ser, sans doute parce qu’ils y voyaient comme un risque de res­sas­se­ment voyeu­riste, incom­pa­tible avec les exi­gences du tra­vail de mémoire. Pour ten­ter de rendre jus­tice au tra­vail de Jona­than Lit­tell, il fal­lait d’a­bord reve­nir sur ses spé­ci­fi­ca­tions pro­pre­ment lit­té­raires. Ce fut le pre­mier but d’une dis­cus­sion entre la rédac­tion de La Revue nou­velle et Albert Min­gel­grün, pro­fes­seur asso­cié à l’Ins­ti­tut d’é­tudes du judaïsme Mar­tin Buber (ULB) et pré­sident de la Fon­da­tion de la mémoire contemporaine.

Albert Mingelgrün


Auteur

Albert Mingelgrün est professeur associé à l'[Institut d'Étude du Judaïsme Martin Buber->http://www.ulb.ac.be/philo/judaism/] à l'Université libre de Bruxelles, et président de la [Fondation de la mémoire contemporaine->http://www.fmc-seh.be/].