Crise à la gare du Midi : la répression de la misère ne l’a jamais fait disparaitre
Cet été, était-ce à la faveur de la fréquentation plus importante de la gare pour les vacances, le monde politique et médiatique prenait soudainement conscience d’une situation inquiétante dans et autour de la gare du Midi. Le traitement de ce sujet a été principalement réalisé à travers un prisme particulier : le problème était perçu comme étant sécuritaire et la solution devait donc l’être aussi. Le principal de l’action politique, à tout le moins dans son versant visible, a été composé de descentes de polices importantes dans la gare afin de la « nettoyer ». Force est de constater deux mois plus tard, que cela n’a pas changé grand-chose.
Cet été, était-ce à la faveur de la fréquentation plus importante de la gare pour les vacances, le monde politique et médiatique prenait soudainement conscience d’une situation inquiétante dans et autour de la gare du Midi. Le traitement de ce sujet a été principalement réalisé à travers un prisme particulier : le problème était perçu comme étant sécuritaire et la solution devait donc l’être aussi. Le principal de l’action politique, à tout le moins dans son versant visible, a été composé de descentes de polices importantes dans la gare afin de la « nettoyer ». Force est de constater deux mois plus tard, que cela n’a pas changé grand-chose.
