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Considérer le genre en archives

Abo Numéro 3 Mai 2024 par Apolline Vranken

mai 2024

L’écriture d’une his­toire fémi­niste de l’architecture appelle la concep­tion et l’utilisation d’outils métho­do­lo­giques, ana­ly­tiques, his­to­rio­gra­phiques et nar­ra­tifs inno­vants afin de désta­bi­li­ser les tra­di­tion­nelles et tou­jours actuelles clas­si­fi­ca­tions hégé­mo­niques de l’histoire de l’architecture. Dans un contexte d’hybridation pro­gres­sive des sup­ports mémo­riels, cet article inter­roge les pra­tiques et les poli­tiques archi­vis­tiques au croi­se­ment du genre, de l’histoire de l’architecture et de l’histoire belge — encore et tou­jours un angle mort de la recherche -, pour déve­lop­per des stra­té­gies et des métho­do­lo­gies axées sur les manières de faire his­toire comme res­sources du pro­jet archi­tec­tu­ral, archi­vis­tique, voire muséal, sans les réduire à une pra­tique textuelle.

Article

L’écriture d’une his­toire fémi­niste de l’architecture appelle la concep­tion et l’utilisation d’outils métho­do­lo­giques, ana­ly­tiques, his­to­rio­gra­phiques et nar­ra­tifs inno­vants afin de désta­bi­li­ser les tra­di­tion­nelles et tou­jours actuelles clas­si­fi­ca­tions hégé­mo­niques de l’histoire de l’architecture. Dans un contexte d’hybridation pro­gres­sive des sup­ports mémo­riels, cet article inter­roge les pra­tiques et les poli­tiques archi­vis­tiques au croi­se­ment du genre, de l’histoire de l’architecture et de l’histoire belge — encore et tou­jours un angle mort de la recherche -, pour déve­lop­per des stra­té­gies et des métho­do­lo­gies axées sur les manières de faire his­toire comme res­sources du pro­jet archi­tec­tu­ral, archi­vis­tique, voire muséal, sans les réduire à une pra­tique textuelle.

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Apolline Vranken


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