Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
La Revue nouvelle… et vous…
Une revue ne vit que par ses lecteurs, c’est une évidence, quoique la presse généraliste nous rappelle qu’elle peut mourir par ses auteurs, mais c’est une autre histoire. Toujours est-il que, conscients de la justesse de cette maxime, certains de nos fidèles ont entrepris de faire du prosélytisme. Ils ont compris que, s’ils voulaient continuer […]
Une revue ne vit que par ses lecteurs, c’est une évidence, quoique la presse généraliste nous rappelle qu’elle peut mourir par ses auteurs, mais c’est une autre histoire.
Toujours est-il que, conscients de la justesse de cette maxime, certains de nos fidèles ont entrepris de faire du prosélytisme. Ils ont compris que, s’ils voulaient continuer de profiter longtemps encore d’une Revue nouvelle de qualité, il leur fallait la faire connaître à d’autres.
Mais comment approcher le quidam qui ne connaît pas notre formidable média ? Le porte-à-porte a été tenté, mais la confusion avec les Témoins de Jéhovah a nui à l’entreprise. La distribution d’exemplaires gratuits a été envisagée, mais elle impliquait que nos lecteurs dispersent leur précieuse collection. Un crève-cœur, on en conviendra.
Restait la ruse : laisser trainer un exemplaire, faire voir le logo, abandonner négligemment une enveloppe… et attendre les questions. DW, un de nos fidèles abonnés a procédé de la sorte et fut heureux du résultat, lequel dépassa tous ses espoirs : ses autorités communales, en possession d’une intrigante enveloppe, lui adressèrent un courrier pour l’interroger.
Voulant y voir un signe encourageant pour l’avenir de la presse écrite de qualité et voulant diffuser cet exemple pour l’édification de tous, nous n’avons pas résisté au plaisir de publier ici ladite missive.