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Après le califat, l’embarras

Abo Numéro 6 - 2020 - combattants Enfants retour returnees Terrorisme par Delhaise Coline Remacle Chloé Thomas

septembre 2020

La question du retour des ressortissants étrangers partis combattre aux côtés de l’État islamique s’est imposée aux États européens qui ne cachent pas leur réticence à organiser leur rapatriement. En Belgique, cette question a été directement traitée par la justice, sans pour autant mettre fin à l’immobilisme politique. Plus largement, la gestion des « combattants terroristes étrangers » et de leurs enfants témoigne de notre conception de la lutte contre le terrorisme.

Article

La question du retour des ressortissants étrangers partis combattre aux côtés de l’État islamique s’est imposée aux États européens qui ne cachent pas leur réticence à organiser leur rapatriement. En Belgique, cette question a été directement traitée par la justice, sans pour autant mettre fin à l’immobilisme politique. Plus largement, la gestion des « combattants terroristes étrangers » et de leurs enfants témoigne de notre conception de la lutte contre le terrorisme.

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Delhaise


Auteur

docteure en sociologie, chercheuse, Observatoire du sida et des sexualités, université Saint-Louis Bruxelles

Coline Remacle


Auteur

chercheuse, INCC

Chloé Thomas


Auteur

chercheuse, FRS-FNRS (FRESH), université Saint-Louis Bruxelles