La surreprésentation des femmes dans le militantisme bénévole n’est pas le produit du hasard. Résultat d’une construction sociale, produit des rapports de domination, elle a cependant permis le développement d’une « culture du souci » ancrée dans l’habitus féminin. Le partage de cette culture et des compétences qu’elle implique pourrait être un enjeu majeur dans la construction d’une société plus solidaire.