En octobre 1999, le gouvernement annonce une « politique globale d’immigration ». Si certains éléments en ont été mis en place, le fond du problème — une réouverture partielle et sélective des frontières — n’ pas encore été envisagé. Dans la pratique, les régularisations ont pris un énorme retard par rapport au calendrier fixé. Les procédures de naturalisation tardent à être définies. La question du droit de vote des étrangers, reportée aux lendemains des élections communales, est au point mort.