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Personnalisme et Évangile

Numéro 4 Avril 2001 par Vincent Triest

août 2016

Le débat auquel nous don­nons ici la parole est signi­fi­ca­tif des contro­verses qui tra­vaillent l’i­den­ti­té chré­tienne. Elle est aujourd’­hui plu­rielle, voire dis­lo­quée, lors­qu’elle veut faire offre de sens dans l’es­pace public. La dis­cus­sion fait suite à la pré­sen­ta­tion qu’­Her­vé Cnudde a faite dans La Revue nou­velle, en octobre 2000, du livre de Vincent Triest, Plus est en l’homme. Le per­son­na­lisme vécu comme huma­nisme radi­cal. Le débat pose à nou­veaux frais d’é­coutes, d’in­ves­ti­ga­tions et de docu­men­ta­tions la ques­tion des rap­ports entre “le per­son­na­lisme com­mu­nau­taire” et “le men­tal chré­tien, proche ou dis­tant des intui­tions propres aux évan­giles”. Tout bien consi­dé­ré, le per­son­na­lisme n’est-il pas l’ha­billage d’un chris­tia­nisme sécu­la­ri­sé ? La réponse n’est pas uni­voque. Au-delà et à l’in­té­rieur de cette contro­verse entre chré­tien se des­sine aus­si la per­ti­nence, le sens et les impasses pos­sibles de la réfé­rence chré­tienne pour ins­ti­tuer ou retra­vailler un par­ti poli­tique dans l’es­pace moderne.