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Perasma, de Pierre Mertens
Un “premier” amour vécu à l’âge mûr Peut-il compenser les malheur de l’enfance ? Telle est la question posée par Perasma de
Pierre Mertens. Nostalgique et brulant, parfois drôle, parfois crû,
parfois désespéré, le nouveau livre de Mertens apparait à beaucoup
à d’égards comme l’aboutissement dans une intrigue nouvelle et différemment
colorée, de la thématique développée dans certains
romans antérieurs. A posteriori l’ensemble de l’œuvre du romancier se révèle comme une symphonie où les phrases mélodiques,
riches et diverses, sont sans cesse reprises, élargies, atténuées,
réaccentuées et où le vécu et la fiction s’entrelacent en un jeu
complexe et fondamentalement intégrateur, car si l’une est le
reflet de l’autre, la réciproque est également vraie.