Dans La femme majeure, Edgar Morin dénonce qu’il appelle une confusion propose au mouvement féministe. Celui-ci, estime-t-il, véhicule, d’une part, une revendication « gynécoïde » qui souligne la spécificité des femmes et exige la reconnaissance de sa valeur et, d’autre part, une revendication « androïdienne » qui prétend assimiler la femme à l’homme en tous domaines.