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Mouvement féministe. Une marée aux accents internationaux
L’année 2019 a incontestablement représenté une année déterminante dans l’histoire politique chilienne. L’épisode de l’augmentation du cout du ticket de métro a mobilisé des dizaines d’étudiants et de travailleurs qui n’auraient jamais imaginé que le simple fait de « sauter par-dessus le tourniquet d’une station de métro » pouvait menacer trente ans d’administration et de consolidation du système néolibéral et d’enclaves autoritaires issues de la dictature civile et militaire d’Augusto Pinochet. Pour les milliers de personnes qui ont occupé les rues de Santiago et les principales villes du pays, le mot d’ordre était clair : « Ce ne sont pas 30 pésos, mais bien 30 ans ».
L’année 2019 a incontestablement représenté une année déterminante dans l’histoire politique chilienne. L’épisode de l’augmentation du cout du ticket de métro a mobilisé des dizaines d’étudiants et de travailleurs qui n’auraient jamais imaginé que le simple fait de « sauter par-dessus le tourniquet d’une station de métro » pouvait menacer trente ans d’administration et de consolidation du système néolibéral et d’enclaves autoritaires issues de la dictature civile et militaire d’Augusto Pinochet. Pour les milliers de personnes qui ont occupé les rues de Santiago et les principales villes du pays, le mot d’ordre était clair : « Ce ne sont pas 30 pésos, mais bien 30 ans ».