Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Monarchie et odonymie bruxelloise
La dénomination de noms de rues, en d’autres termes l’«odonymie[efn_note]L’odonymie étudie les noms propres désignant une voie de communication ; la toponymie étudie les noms propres désignant un lieu au sens large. L’odonymie est donc une branche de la toponymie. Les deux termes sont souvent confondus et il est généralement question de toponymie alors qu’il s’agit en fait d’odonymie. Certains auteurs parlent même d’odotoponymie.[/efn_note]», geste qui semble à première vue bien banal, apparait pourtant, à y regarder de plus près, comme un levier essentiel en termes d’appropriation et d’organisation de l’espace public. Il s’agit là d’un instrument dont disposent les pouvoirs locaux, en clair, les communes, qui est de première importance tant sur le plan politique qu’identitaire.
La dénomination de noms de rues, en d’autres termes l’«odonymie[efn_note]L’odonymie étudie les noms propres désignant une voie de communication ; la toponymie étudie les noms propres désignant un lieu au sens large. L’odonymie est donc une branche de la toponymie. Les deux termes sont souvent confondus et il est généralement question de toponymie alors qu’il s’agit en fait d’odonymie. Certains auteurs parlent même d’odotoponymie.[/efn_note]», geste qui semble à première vue bien banal, apparait pourtant, à y regarder de plus près, comme un levier essentiel en termes d’appropriation et d’organisation de l’espace public. Il s’agit là d’un instrument dont disposent les pouvoirs locaux, en clair, les communes, qui est de première importance tant sur le plan politique qu’identitaire.