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Louis M. ou les faux habits du libéralisme social
Contrairement à l’image qu’il s’efforce de présenter de lui, le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, à travers des compétences élargies par le cumul de fonctions, a été plusieurs fois mis en défaut. De plus, marqué par une volonté de gagneur et de battant, Louis Michel alimente en fait une image politique surdéterminée par des « arrangements » plutôt que par l’établissement d’une meilleure articulation avec la société civile que le slogan du « libéralisme social » aurait pu laisser escompter. Ainsi, la figure de Louis Michel, caméléon d’un libéralisme finalement classique, pourrait être représentative du gouvernement « arc-en-ciel », qui nous a montré ses limites pour « gouverner autrement ».