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La passivité des politiques actives
Le débat actuel sur l’activation du social animée par un “État-actif-providence” (P. Rosanvallon, 1995) ou un “État social actif” (Fr. Vandenbroucke, 1999) influence de nombreuses politiques publiques. Les politiques publiques, plus particulièrement dans le domaine du travail social et de politique sociale, font une large part à ce débat, au moins controversé, pour affronter l’extension des problèmes sociaux et l’émergence de “nouvelles demandes” émanant des personnes valides “invalidées” par la crise économique et le marché du travail. Cette politique active constitue non seulement un champ d’observation et d’investigation privilégié pour mettre en évidence les enjeux idéologiques, sociaux, politiques et économiques, mais permet aussi d’interroger la logique d’ensemble qui gouverne les modes de gestion “active” de la protection, d’assistance et d’intervention sociales.