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La jeunesse à ses limites
« Les Soulèvements de la Terre » est un collectif militant écologiste fondé en 2021 à la suite des manifestations dans la zone à défendre (ZAD) de Notre-Dame-des-Landes en France. Par des missions d’occupation, de sabotage et de désobéissance civile, il s’oppose aux décisions gouvernementales susceptibles de polluer, détruire et exploiter l’écosystème. « Nous sommes des jeunes révolté·es qui avons grandi avec la catastrophe écologique en fond d’écran et la précarité comme seul horizon » précise l’association sur son site. Tout comme d’autres organisations (Youth for climate par exemple), il semble que ces mouvements soient portés par une certaine jeunesse empreinte d’un mouvement de subversion à l’égard de la société actuelle. Ces mouvements sont parfois qualifiés d’« écoterroristes » par les gouvernements à qui s’adressent leurs revendications. Récemment, le ministre français de l’Intérieur annonce la dissolution de l’organisation au nom de ce principe et de l’« ensauvagement », prônant une menace contre la prospérité. Cette censure s’inscrit dans un discours réactionnaire qui empêche toute contestation d’émerger au profit d’un argumentaire sécuritaire, il protège les ambitions étatiques progressistes d’une subversion portée par la jeunesse.
« Les Soulèvements de la Terre » est un collectif militant écologiste fondé en 2021 à la suite des manifestations dans la zone à défendre (ZAD) de Notre-Dame-des-Landes en France. Par des missions d’occupation, de sabotage et de désobéissance civile, il s’oppose aux décisions gouvernementales susceptibles de polluer, détruire et exploiter l’écosystème. « Nous sommes des jeunes révolté·es qui avons grandi avec la catastrophe écologique en fond d’écran et la précarité comme seul horizon » précise l’association sur son site. Tout comme d’autres organisations (Youth for climate par exemple), il semble que ces mouvements soient portés par une certaine jeunesse empreinte d’un mouvement de subversion à l’égard de la société actuelle. Ces mouvements sont parfois qualifiés d’« écoterroristes » par les gouvernements à qui s’adressent leurs revendications. Récemment, le ministre français de l’Intérieur annonce la dissolution de l’organisation au nom de ce principe et de l’« ensauvagement », prônant une menace contre la prospérité. Cette censure s’inscrit dans un discours réactionnaire qui empêche toute contestation d’émerger au profit d’un argumentaire sécuritaire, il protège les ambitions étatiques progressistes d’une subversion portée par la jeunesse.