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La fraude fiscale, ses contraintes et ses largesses

Abo Numéro 9 Septembre 2013 par Moussa Merimi

septembre 2013

Depuis son appa­ri­tion jusqu’à aujourd’hui, l’impôt a tra­ver­sé le temps et l’espace, dans une évo­lu­tion per­ma­nente, répon­dant à des besoins et des « légi­ti­mi­tés » divers, mais sans jamais lais­ser le public indif­fé­rent. Entre l’État et ses contri­buables, les ten­sions sont presque omni­pré­sentes ; le pre­mier effec­tuant par voie d’autorité les pré­lè­ve­ments qu’il juge néces­saires à la réa­li­sa­tion de ses dépenses, les seconds contes­tant la répar­ti­tion de la contri­bu­tion, cri­ti­quant son affec­ta­tion ou met­tant en cause par­tiel­le­ment, voire tota­le­ment sa légi­ti­mi­té. Ain­si, par cupi­di­té, égoïsme, convic­tion poli­tique ou phi­lo­so­phique, cer­tains tentent de se sous­traire à l’impôt quand d’autres ont pour seule option de s’y soumettre.

Depuis son appa­ri­tion jusqu’à aujourd’hui, l’impôt a tra­ver­sé le temps et l’espace, dans une évo­lu­tion per­ma­nente, répon­dant à des besoins et des « légi­ti­mi­tés » divers, mais sans jamais lais­ser le public indif­fé­rent. Entre l’État et ses contri­buables, les ten­sions sont presque omni­pré­sentes ; le pre­mier effec­tuant par voie d’autorité les pré­lè­ve­ments qu’il juge néces­saires à la réa­li­sa­tion de ses dépenses, les seconds contes­tant la répar­ti­tion de la contri­bu­tion, cri­ti­quant son affec­ta­tion ou met­tant en cause par­tiel­le­ment, voire tota­le­ment sa légi­ti­mi­té. Ain­si, par cupi­di­té, égoïsme, convic­tion poli­tique ou phi­lo­so­phique, cer­tains tentent de se sous­traire à l’impôt quand d’autres ont pour seule option de s’y soumettre.

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Moussa Merimi


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