Alors que de nombreux discours présentaient la dévaluation du franc belge comme une menace pesant sur l’économie belge justifiant pour être évitée des mesures d’austérité radicales, la dévaluation de février 1982, préparée en secret, fut l’instrument permettant à un gouvernement disposant de pouvoirs spéciaux d’imposer ces mesures d’austérité et de surpasser l’opposition, notamment syndicale.