« Géniale », « hystérique », « militante ultraradicale », « visionnaire », quel que soit le qualificatif que l’on utilise pour définir Françoise d’Eaubonne, nombreux·ses se retrouvent pour dire qu’elle fut une pionnière de la pensée liant écologie et féminisme. C’est d’ailleurs à elle que nous devons le terme « écoféminisme » apparu pour la première fois dans son ouvrage Le féminisme ou la mort, paru en 1974, terme aujourd’hui récupéré avec plus ou moins de bonheur à travers le monde. Néanmoins, la personnalité n’est pas sans ambigüité, comme nous toustes. Alors que deux...
La suite de cet article est réservée aux membres Premium
July Robert
Auteur
July Robert est autrice et traductrice. Elle est également chroniqueuse littéraire pour divers médias belges.
S'inscrire à l'infolettre