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Faire face à la Covid : vivre, survivre ou sur-vivre ?

ABO Numéro 7 – 2020 Covid-19crisesantésanté mentale - par Nicolas Marquis -

Dès l’annonce du confinement, on a vu fleurir sur la toile et les réseaux sociaux notamment les touches d’humour annonçant ce à quoi allaient probablement ressembler les semaines qui allaient suivre. On y décrivait souvent trois actes : d’abord une extase béate face aux petites choses de la vie quotidienne redécouvertes à la suite de ce ralentissement imposé ; ensuite l’arrivée des premiers nuages dans ce ciel bleu de printemps lorsque l’on se rend compte des limites de notre patience ou de notre circonspection face à ce temps dont on ne sait plus trop que faire ; et enfin la chute, le rejet de cette nouvelle vie vite devenue insupportable qu’on avait pourtant célébré quelque temps auparavant.

Temps 1 : Comment avons-nous fait face ? Dès l’annonce du confinement, on a vu fleurir sur la toile et les réseaux sociaux notamment les touches d’humour annonçant ce à quoi allaient probablement ressembler les semaines qui allaient suivre. On y décrivait souvent trois actes : d’abord une extase béate face aux petites choses de la vie quotidienne redécouvertes à la suite de ce ralentissement imposé ; ensuite l’arrivée des premiers nuages dans ce ciel bleu de printemps lorsque l’on se rend compte des limites de notre patience ou de notre circonspection face...
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Nicolas Marquis


Auteur

sociologue, chargé de cours en sociologie, méthodologie et méthodes quantitatives à l’université Saint-Louis Bruxelles, codirecteur du Casper, nicolas.marquis@usaintlouis.be