Les intentions vertueuses revendiquées par les promoteurs de l’économie sociale ne suffisent pas à faire la différence avec l’économie de marché. De plus, leurs bonnes intentions pourraient même parfois se retourner contre leurs travailleurs. En ce qui concerne plus particulièrement les services publics, un partenariat fécond peut s’installer entre le monde associatif et l’État, à la condition que celui-ci finance correctement le secteur de manière à ce que toutes les demandes, solvables et non, puissent être rencontrées.