Récapitulons ce qui précède de façon lapidaire : dans le sillage de tendances internationales, la coopération au développement de la Belgique s’est engagée dans une profonde reconfiguration à caractère managérial.
Après deux « décennies du développement », en observant l’état socioéconomique précaire d’une grande partie de ce qui était appelé le « tiers-monde », on a conclu au début de ce siècle que les coopérations postcoloniales au développement avaient échoué, en bloc. Aujourd’hui, les protagonistes de ces (...)