Chance
Nous n’avons pas la chance qu’a la course des étoiles
Qui tout droit trace dans la nuit.
Nos étoiles à nous dévient les portées et les mesures du ciel ;
Nos cœurs orchestrent l’impromptuosité de leurs fantaisies.
Seulement, et tu le sais, elles sont vraies :
Quand je te touche l’univers le ressent et les fleurs.
À tes côtés, pour toujours, dormir j’aimerais,
Et reposer à jamais
Quand ils nous coucheront sous terre,
Quand ils nous lieront sur notre pierre.
Je t’aime à la folie d’une apocalypse, (...)
Nous n’avons pas la chance qu’a la course des étoiles
Qui tout droit trace dans la nuit.
Nos étoiles à nous dévient les portées et les mesures du ciel ;
Nos cœurs orchestrent l’impromptuosité de leurs fantaisies.
Seulement, et tu le sais, elles sont vraies :
Quand je te touche l’univers le ressent et les fleurs.
À tes côtés, pour toujours, dormir j’aimerais,
Et reposer à jamais
Quand ils nous coucheront sous terre,
Quand ils nous lieront sur notre pierre.
Je t’aime à la folie d’une apocalypse,
Et le soleil douloureusement s’en crispe.