La gestion de la crise à Bruxelles a été marquée par des improvisations et des tâtonnements, liés notamment à la structure institutionnelle complexe de la région et à un sous-dimensionnement de l’administration régionale. Quelles perspectives de relance peut-on espérer dans un tel cadre ? Le choix de reprendre les grands axes de la déclaration de politique régionale pour élaborer le plan de relance bruxellois fait-il sens dans ce contexte ?